Ton frère, Ndiaga Diaw
Message de soutien à mon frère Maodo Malick Mbaye par Ndiaga Diaw du PDS
Ton frère, Ndiaga Diaw
PLAN DE REDRESSEMENT ECONOMIQUE Ousmane Sonko donne rendez-vous au peuple le 1er août

Le Premier ministre Ousmane Sonko présentera officiellement, vendredi 1er août, le très attendu Plan de relance économique du gouvernement. Cette annonce intervient dans un contexte de fortes tensions budgétaires, après la révélation d’un niveau d’endettement supérieur à 100% du Pib et la suspension d’un prêt du Fmi. La présentation, qui devrait lever le voile sur les priorités du gouvernement pour sortir de l’impasse, marquera un tournant décisif dans la stratégie économique du Sénégal.
Le compte à rebours est lancé. Ce vendredi 1er août, à l’heure annoncée par Ousmane Sonko, le gouvernement sénégalais dévoilera enfin son Plan de redressement économique, fruit de plusieurs mois de travail dans un climat financier marqué par la rigueur et l’urgence. L’annonce a été faite à Thiès, en marge de la cérémonie de sortie des 1000 premiers volontaires agricoles de la campagne 2025, un événement à forte portée symbolique que le chef du gouvernement a su mettre à profit pour fixer le cap. « C’est un plan qui nous permettra de redresser la barre de notre économie complètement enfouie dans le sous-sol », a déclaré le Premier ministre devant un parterre de jeunes engagés dans les dynamiques rurales. Il s’agira, selon ses mots, d’un plan structurant, à la hauteur des défis que traverse actuellement le Sénégal, et destiné à placer le pays « sur la rampe du développement et de l’émergence ».
La date du 1er août n’est pas anodine : elle précède de peu la venue attendue d’une mission du Fonds monétaire international, prévue pour la fin du mois. Celle-ci doit évaluer la situation économique du pays et poser les jalons d’une éventuelle reprise de la coopération financière, suspendue après la révision à la hausse de la dette publique à plus de 100% du Pib pour l’année 2023. Ce chiffre, révélé par un audit indépendant de la Cour des comptes, a mis à mal la crédibilité budgétaire du pays et forcé le gouvernement à revoir ses priorités.
Dans cette perspective, le Plan de redressement constitue un test de vérité pour l’exécutif. Son contenu devrait répondre aux attentes conjuguées des partenaires financiers, des investisseurs, des opérateurs économiques et des citoyens, de plus en plus inquiets face à la détérioration des comptes publics. Les premières indications gouvernementales font état d’un programme articulé autour de la transparence budgétaire, de la réduction des dépenses improductives, et d’une orientation stratégique des ressources vers des secteurs prioritaires : agriculture, infrastructures, éducation, santé et protection sociale.
Dans le même temps, Ousmane Sonko cherche à insuffler une dynamique nationale fondée sur l’engagement citoyen, comme en témoigne le lancement du volontariat institutionnel, un projet ambitieux porté par le ministère de l’Agriculture et la Direction générale du Service civique national. La première cohorte de 1000 volontaires agricoles hommes et femmes issus des 14 régions du pays est appelée à devenir un pilier de l’action publique de proximité. « Ces volontaires sont les modèles d’un patriotisme utile, d’un engagement concret pour le développement local », a déclaré le chef du gouvernement, tout en annonçant la création du plus grand centre africain de transformation pour l’employabilité, destiné à recycler, former et insérer des milliers de jeunes et de travailleurs en reconversion. Ce centre, selon Sonko, portera une vision nouvelle de la formation professionnelle, adossée aux réalités socioéconomiques du pays.
À travers cette double séquence le volontariat agricole et le Plan de redressement, l’exécutif affiche une volonté de rupture, mêlant rigueur financière, relance économique et mobilisation des forces vives de la Nation. Le pari est audacieux, restaurer la confiance tout en posant les bases d’une croissance endogène, plus équitable et plus résiliente. Mais les marges de manœuvre sont étroites, tant les déséquilibres sont profonds et les attentes fortes.
La présentation du 1er août devrait donc être plus qu’une simple déclaration d’intentions. Elle est appelée à définir une feuille de route précise, assortie d’objectifs clairs, de mécanismes de mise en œuvre crédibles et d’un calendrier resserré. Au-delà du contenu économique, c’est la cohérence politique de l’action gouvernementale qui sera scrutée. Et surtout, sa capacité à rassembler autour d’un cap partagé.
En cette période de tensions économiques, de pression sociale et de questionnements internationaux, le Sénégal joue une carte essentielle. Le Premier ministre a fixé le rendez-vous, les regards sont désormais tournés vers le 1er août.
PLAN DE REDRESSEMENT ECONOMIQUE Ousmane Sonko donne rendez-vous au peuple le 1er août

Le Premier ministre Ousmane Sonko présentera officiellement, vendredi 1er août, le très attendu Plan de relance économique du gouvernement. Cette annonce intervient dans un contexte de fortes tensions budgétaires, après la révélation d’un niveau d’endettement supérieur à 100% du Pib et la suspension d’un prêt du Fmi. La présentation, qui devrait lever le voile sur les priorités du gouvernement pour sortir de l’impasse, marquera un tournant décisif dans la stratégie économique du Sénégal.
Le compte à rebours est lancé. Ce vendredi 1er août, à l’heure annoncée par Ousmane Sonko, le gouvernement sénégalais dévoilera enfin son Plan de redressement économique, fruit de plusieurs mois de travail dans un climat financier marqué par la rigueur et l’urgence. L’annonce a été faite à Thiès, en marge de la cérémonie de sortie des 1000 premiers volontaires agricoles de la campagne 2025, un événement à forte portée symbolique que le chef du gouvernement a su mettre à profit pour fixer le cap. « C’est un plan qui nous permettra de redresser la barre de notre économie complètement enfouie dans le sous-sol », a déclaré le Premier ministre devant un parterre de jeunes engagés dans les dynamiques rurales. Il s’agira, selon ses mots, d’un plan structurant, à la hauteur des défis que traverse actuellement le Sénégal, et destiné à placer le pays « sur la rampe du développement et de l’émergence ».
La date du 1er août n’est pas anodine : elle précède de peu la venue attendue d’une mission du Fonds monétaire international, prévue pour la fin du mois. Celle-ci doit évaluer la situation économique du pays et poser les jalons d’une éventuelle reprise de la coopération financière, suspendue après la révision à la hausse de la dette publique à plus de 100% du Pib pour l’année 2023. Ce chiffre, révélé par un audit indépendant de la Cour des comptes, a mis à mal la crédibilité budgétaire du pays et forcé le gouvernement à revoir ses priorités.
Dans cette perspective, le Plan de redressement constitue un test de vérité pour l’exécutif. Son contenu devrait répondre aux attentes conjuguées des partenaires financiers, des investisseurs, des opérateurs économiques et des citoyens, de plus en plus inquiets face à la détérioration des comptes publics. Les premières indications gouvernementales font état d’un programme articulé autour de la transparence budgétaire, de la réduction des dépenses improductives, et d’une orientation stratégique des ressources vers des secteurs prioritaires : agriculture, infrastructures, éducation, santé et protection sociale.
Dans le même temps, Ousmane Sonko cherche à insuffler une dynamique nationale fondée sur l’engagement citoyen, comme en témoigne le lancement du volontariat institutionnel, un projet ambitieux porté par le ministère de l’Agriculture et la Direction générale du Service civique national. La première cohorte de 1000 volontaires agricoles hommes et femmes issus des 14 régions du pays est appelée à devenir un pilier de l’action publique de proximité. « Ces volontaires sont les modèles d’un patriotisme utile, d’un engagement concret pour le développement local », a déclaré le chef du gouvernement, tout en annonçant la création du plus grand centre africain de transformation pour l’employabilité, destiné à recycler, former et insérer des milliers de jeunes et de travailleurs en reconversion. Ce centre, selon Sonko, portera une vision nouvelle de la formation professionnelle, adossée aux réalités socioéconomiques du pays.
À travers cette double séquence le volontariat agricole et le Plan de redressement, l’exécutif affiche une volonté de rupture, mêlant rigueur financière, relance économique et mobilisation des forces vives de la Nation. Le pari est audacieux, restaurer la confiance tout en posant les bases d’une croissance endogène, plus équitable et plus résiliente. Mais les marges de manœuvre sont étroites, tant les déséquilibres sont profonds et les attentes fortes.
La présentation du 1er août devrait donc être plus qu’une simple déclaration d’intentions. Elle est appelée à définir une feuille de route précise, assortie d’objectifs clairs, de mécanismes de mise en œuvre crédibles et d’un calendrier resserré. Au-delà du contenu économique, c’est la cohérence politique de l’action gouvernementale qui sera scrutée. Et surtout, sa capacité à rassembler autour d’un cap partagé.
En cette période de tensions économiques, de pression sociale et de questionnements internationaux, le Sénégal joue une carte essentielle. Le Premier ministre a fixé le rendez-vous, les regards sont désormais tournés vers le 1er août.
Ousmane Sonko Propose la Fusion de l’IPRES et de la CSS pour Réformer le Système de Protection Sociale

Lors du Conseil des ministres tenu ce mercredi, le Premier ministre Ousmane Sonko a proposé une réforme majeure du système de protection sociale sénégalais, en appelant à une éventuelle fusion entre l’Institution de prévoyance retraite du Sénégal (IPRES) et la Caisse de sécurité sociale (CSS).
Cette proposition vise à créer une institution unique, plus performante, capable d'assurer une meilleure gouvernance et de répondre aux défis persistants liés à l’efficacité, à l’inclusion et à la qualité des prestations sociales.
M. Sonko a chargé le ministre du Travail, en collaboration avec le Secrétaire général du Gouvernement, d’accélérer l’élaboration et l’adoption du nouveau Code de la sécurité sociale, dans un souci d’unification et de modernisation du secteur.
Le chef du gouvernement a dressé un constat préoccupant : de nombreuses catégories de citoyens sont encore exclues du système actuel, notamment les travailleurs non salariés et ceux évoluant dans le secteur informel. Les tentatives d’élargissement de la couverture sociale n’ont pas permis de combler ces lacunes structurelles.
En outre, le faible niveau des pensions et les carences dans la qualité des services rendent le système de retraite peu attrayant et inefficace pour nombre de bénéficiaires. L’existence de multiples organes de gestion est également pointée du doigt, rendant difficile la mise en place d’une politique sociale cohérente et centralisée.
Avec cette réforme, le gouvernement entend poser les bases d’une politique sociale unifiée, solidaire et plus inclusive, à la hauteur des aspirations des travailleurs sénégalais.
aps
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