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Le ministre de la Microfinance accuse Bougane, d’être un milliardaire créé par l’Etat


Rédigé le Vendredi 12 Juillet 2024 à 07:32 | Lu 30 fois | 0 commentaire(s)



Le ministre de la Microfinance accuse Bougane, d’être un milliardaire créé par l’Etat
C’est extrêmement grave que le ministre de la Microfinance justifie la mal gouvernance, en disant que chaque régime vient avec ses hommes d’affaires pour les rendre riches par le petit poucet. Alioune Dione a répété cette phrase à plusieurs reprises devant Maïmouna Ndour Faye, qui essayait de lui rappeler que les entreprises de Bougane Guèye Dany, dont Dakkor, avaient des marchés privés de grande envergure sur le plan national, régional, et sous-régional, mais le ministère de la Microfinance ne voulait rien entendre. Alioune Dione a affirmé que le mérite de Bougane Guèye Dany, est d’avoir été aidé par l’Etat pour avoir sa fortune.

Ce même ministre a osé dire que ce qu’il a fait comme réalisations dans son ministère en trois mois, personne ne l’a jamais fait au Sénégal.

Monsieur le ministre, qu’avez-vous fait en trois mois ?

Dans la même émission, le ministre de la Microfinance continue en agressant Bougane Gueye Dany, leader de la coalition « Geum Sa Bopp », par rapport au parrainage que sa coalition n’a pu obtenir sous le régime de Macky Sall.

Pour rappel, Bougane Guèye Dany et sa coalition ont toujours eu le parrainage sur le terrain, avec plusieurs méthodes de collecte et un travail de terrain béni par des stratégies, au vu et au su de tous. Plusieurs candidats recalés ont rejoint Bougane pour dénoncer les magouilles issues du logiciel de parrainage, ainsi que la liste électorale.

En réponse à la difficulté du nouveau régime de gober leur farouche opposant, Alioune Diop, membre éminent de la coalition « Gueum Sa Bopp » se prononce : « Nous n’avons plus de grand homme, mais des petits qui grenouillent et sautillent de droite et de gauche, avec une sérénité dans l’incompétence. Le président Bougane ne peut pas être votre alter ego, car il a réussi là où vous avez échoué. En tant qu’ingénieur de formation et spécialiste des questions de développement, de politique économique, votre parcours ne se limite qu’à des écrits.

Où étiez-vous lorsque la population avait un besoin crucial de ses enfants dans les domaines de l’emploi et du développement social ? La personne que vous prétendez ne pas être votre égal, est, en réalité, un acteur majeur du développement économique et social, ayant créé de nombreux emplois pour les Sénégalais. Il a également été un pionnier dans l’introduction du mobile money au Sénégal, révolutionnant ainsi les services financiers. De plus, il s’est engagé dans de nombreuses causes et luttes pour le bien-être de ses concitoyens.

Vous avez tout à fait raison de dire qu’il n’est pas votre égal. En effet, ses réalisations et son impact sur la société sénégalaise, parlent d’eux-mêmes, démontrant un engagement concret et des actions tangibles dans le social et pour le progrès du pays. Il ne peut être votre égal, car nous constatons un vide total dans votre parcours
».

Par Alioune Diop, membre éminent de la coalition « Gueum Sa Bopp »







Senego



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Thiès : le maire Babacar Diop interpelle les entreprises minières sur l’impact environnemental et social

Lors des journées portes ouvertes sur le secteur minier, le maire de Thiès, Babacar Diop, a appelé les sociétés minières à respecter l’environnement, les infrastructures et la vie des populations.

 

À l’occasion de la cérémonie d’ouverture des journées portes ouvertes sur le secteur minier, le maire de la ville de Thiès, Dr Babacar Diop, a lancé un appel solennel aux entreprises minières de la région pour une meilleure prise en compte des enjeux environnementaux et sociaux.

« Les entreprises doivent respecter notre environnement. Elles ne doivent pas détruire nos routes, ni fragiliser le rail, ni mettre en danger des vies alors qu’elles brassent des milliards », a déclaré le maire, regrettant les impacts visibles de l’activité minière sur la ville et ses habitants.

Dans son intervention, Dr Babacar Diop a insisté sur la nécessité d’une justice sociale et d’une prise en considération des populations locales. « C’est un appel du cœur pour penser à ces pauvres gens, Monsieur le Ministre », a-t-il lancé.

Le maire a conclu son discours en rappelant que certaines richesses naturelles sont inestimables et ne sauraient être monnayées : « Il y a des choses que l’argent ne peut pas acheter. Vous ne pouvez pas acheter le vent, le soleil ou la pluie… »



TAKUSSANOU SAFAR



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Fraude et corruption : la CENTIF confie 46 affaires majeures au Procureur

La Cellule nationale de Traitement des Informations financières (CENTIF) frappe fort en 2024. Son rapport annuel, rendu public cette semaine, met en évidence une véritable montée en puissance du dispositif national de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme (LBC/FT). La sortie du Sénégal de la liste grise du Groupe d’Action financière (GAFI) le 25 octobre 2024 marque une étape décisive dans ce combat.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes. La CENTIF a enregistré 928 déclarations d’opérations suspectes (DOS) en 2024, soit une hausse de 15 % par rapport à 2023. Les banques et établissements financiers demeurent les principaux acteurs de la vigilance, représentant 83 % des signalements. Les déclarations de transactions en espèces (DTE), obligatoires pour les opérations supérieures à 15 millions de FCFA, ont explosé de 151 %, passant de 17 millions à 42,7 millions FCFA.
Le rapport révèle que fraude, corruption et infractions fiscales restent les principales cibles du dispositif. La fraude domine les signalements (60 % des cas), suivie de la corruption et des infractions fiscales. En revanche, les cas de faux et usage de faux ou de contrebande ont reculé.
Mais la CENTIF pointe aussi de nouvelles méthodes de blanchiment : « Nous observons désormais des escroqueries sur les deniers publics via des sociétés écrans et prête-noms, l’exploitation des plateformes de jeux en ligne, la manipulation de contrats d’assurance-vie, des transferts occultes dans le secteur extractif et un recours croissant aux cryptomonnaies », alerte le rapport.
En matière judiciaire, la CENTIF a transmis 46 dossiers au Procureur du Pool judiciaire financier, contre un nombre inférieur l’an passé. Les classements sans suite ont reculé de 36 %, traduisant « une meilleure qualité des analyses », note le président Cheikh Mouhamadou Bamba Siby dans l’avant-propos du document.
Depuis son inscription sur la liste des juridictions sous surveillance en janvier 2021, le Sénégal s’était engagé à mettre en œuvre 49 mesures correctives. Selon Cheikh Mouhamadou Bamba Siby, « l’atteinte de ces résultats est le fruit d’une synergie entre les acteurs nationaux et les partenaires internationaux ». Une performance qui pourrait bien consolider la réputation du pays sur la scène financière mondiale.


Hajj 2026 : ouverture des préinscriptions dès le 1er octobre au Sénégal

La Délégation générale au Pèlerinage aux Lieux saints de l’Islam (Dgp) a annoncé le lancement des préinscriptions pour le Hajj 2026. À partir du mercredi 1er octobre, les candidats pourront s’inscrire dans toutes les agences de la Banque Islamique du Sénégal (BIS).

Pour cette édition, le coût du pèlerinage a été fixé à 4 300 000 francs CFA. Les pèlerins auront le choix entre deux modalités de paiement : un règlement en une seule fois ou un paiement échelonné. Dans ce dernier cas, un premier versement de 2 300 000 francs CFA sera exigé, suivi d’un second versement de 2 000 000 francs CFA.

La Dgp précise que ces préinscriptions interviennent avant la publication du package officiel 2026, lequel détaillera les prestations incluses dans l’organisation du pèlerinage.



Best Fm Tv en Live : Emission Jottayu Mouride Sadikh du 11 juillet 2025 par imam Abdoulaye thiam