Moussa Seck a bénéficié d’une liberté provisoire hier, de la part du juge du Tribunal correctionnel du Pool judiciaire financier. Il devrait normalement humer l’air de la liberté, si le Procureur signe son ordre de sortie. En fait, la liberté provisoire lui a été accordée, en dépit des réquisitions du parquet qui s’y est opposé. Si le procureur fait appel avant sa sortie de prison, il sera maintenu en détention. En fait, le Parquet a été très sévère contre l’artiste-comédien, estimant qu’il a détourné des deniers publics. Il a requis une peine de 6 mois de prison avec une amende de 200.000 francs pour le délit de faux et usage de faux et 2 ans ferme et une amende de 2 millions pour l’escroquerie portant sur des deniers publics. Lors de la dernière audience, la star de la série Xalisso avait promis de payer le montant de 8.840.000 francs. Ce qui a été fait, il a présenté la quittance de paiement délivrée par la Caisse de dépôts et consignation. Mais, cela n’a pas calmé les ardeurs du procureur qui a fait savoir que l’action publique se poursuit, malgré tout. Moussa Seck qui a comparu à côté de son acolyte présumé, Cheikh Ibrahima Kébé, a nié les faits. Il a monté une société pour vendre de l’eau minérale. Il a cherché à bénéficier d’un financement au niveau de la Der-Fj qui l’a renvoyé au Pôle de Diamniadio qui a validé sa demande après une recommandation, selon lui. Du coup, il n’a pas signé de contrat. Ses explications n’ont pas convaincu le Parquet qui a estimé que les faits sont constants. Le verdict sera rendu le 11 septembre.
L’artiste Moussa Seck obtient une liberté provisoire, en attendant son verdict le 11 septembre
Moussa Seck a bénéficié d’une liberté provisoire hier, de la part du juge du Tribunal correctionnel du Pool judiciaire financier. Il devrait normalement humer l’air de la liberté, si le Procureur signe son ordre de sortie. En fait, la liberté provisoire lui a été accordée, en dépit des réquisitions du parquet qui s’y est opposé. Si le procureur fait appel avant sa sortie de prison, il sera maintenu en détention. En fait, le Parquet a été très sévère contre l’artiste-comédien, estimant qu’il a détourné des deniers publics. Il a requis une peine de 6 mois de prison avec une amende de 200.000 francs pour le délit de faux et usage de faux et 2 ans ferme et une amende de 2 millions pour l’escroquerie portant sur des deniers publics. Lors de la dernière audience, la star de la série Xalisso avait promis de payer le montant de 8.840.000 francs. Ce qui a été fait, il a présenté la quittance de paiement délivrée par la Caisse de dépôts et consignation. Mais, cela n’a pas calmé les ardeurs du procureur qui a fait savoir que l’action publique se poursuit, malgré tout. Moussa Seck qui a comparu à côté de son acolyte présumé, Cheikh Ibrahima Kébé, a nié les faits. Il a monté une société pour vendre de l’eau minérale. Il a cherché à bénéficier d’un financement au niveau de la Der-Fj qui l’a renvoyé au Pôle de Diamniadio qui a validé sa demande après une recommandation, selon lui. Du coup, il n’a pas signé de contrat. Ses explications n’ont pas convaincu le Parquet qui a estimé que les faits sont constants. Le verdict sera rendu le 11 septembre.
"Président légitime" : Un responsable de PASTEF rappelle à l'ordre Guy Marius Sagna

Le Pr Faye rappelle que la Constitution sénégalaise ne reconnaît qu’un seul Président de la République, investi par un suffrage universel direct et validé par le Conseil constitutionnel, conférant à la fois légalité et légitimité. Selon lui, distinguer artificiellement ces notions remet en cause l’ordre constitutionnel et risque de fragiliser la stabilité des institutions. « Toute tentative de dualité est une menace à l’unité nationale », martèle-t-il.
En tant que député, Guy Marius Sagna est tenu, selon Faye, de préserver la cohésion nationale et de renforcer la crédibilité de l’État, plutôt que d’alimenter des discours susceptibles d’inciter à la division ou à la contestation. Ces déclarations, dans un contexte où le Sénégal cherche à consolider sa démocratie, pourraient éroder la confiance des citoyens dans leurs institutions.
Le Pr Faye conclut en exhortant Sagna à exercer sa liberté d’expression dans le respect des lois et à reconnaître sans équivoque la légalité et la légitimité du Président Bassirou Diomaye Faye, soulignant que tout autre discours manque d’assise constitutionnelle et compromet la sérénité politique du pays.
TAKUSSANOU SAFAR
"Président légitime" : Un responsable de PASTEF rappelle à l'ordre Guy Marius Sagna

Le Pr Faye rappelle que la Constitution sénégalaise ne reconnaît qu’un seul Président de la République, investi par un suffrage universel direct et validé par le Conseil constitutionnel, conférant à la fois légalité et légitimité. Selon lui, distinguer artificiellement ces notions remet en cause l’ordre constitutionnel et risque de fragiliser la stabilité des institutions. « Toute tentative de dualité est une menace à l’unité nationale », martèle-t-il.
En tant que député, Guy Marius Sagna est tenu, selon Faye, de préserver la cohésion nationale et de renforcer la crédibilité de l’État, plutôt que d’alimenter des discours susceptibles d’inciter à la division ou à la contestation. Ces déclarations, dans un contexte où le Sénégal cherche à consolider sa démocratie, pourraient éroder la confiance des citoyens dans leurs institutions.
Le Pr Faye conclut en exhortant Sagna à exercer sa liberté d’expression dans le respect des lois et à reconnaître sans équivoque la légalité et la légitimité du Président Bassirou Diomaye Faye, soulignant que tout autre discours manque d’assise constitutionnelle et compromet la sérénité politique du pays.
Ousmane Sonko Propose la Fusion de l’IPRES et de la CSS pour Réformer le Système de Protection Sociale

Lors du Conseil des ministres tenu ce mercredi, le Premier ministre Ousmane Sonko a proposé une réforme majeure du système de protection sociale sénégalais, en appelant à une éventuelle fusion entre l’Institution de prévoyance retraite du Sénégal (IPRES) et la Caisse de sécurité sociale (CSS).
Cette proposition vise à créer une institution unique, plus performante, capable d'assurer une meilleure gouvernance et de répondre aux défis persistants liés à l’efficacité, à l’inclusion et à la qualité des prestations sociales.
M. Sonko a chargé le ministre du Travail, en collaboration avec le Secrétaire général du Gouvernement, d’accélérer l’élaboration et l’adoption du nouveau Code de la sécurité sociale, dans un souci d’unification et de modernisation du secteur.
Le chef du gouvernement a dressé un constat préoccupant : de nombreuses catégories de citoyens sont encore exclues du système actuel, notamment les travailleurs non salariés et ceux évoluant dans le secteur informel. Les tentatives d’élargissement de la couverture sociale n’ont pas permis de combler ces lacunes structurelles.
En outre, le faible niveau des pensions et les carences dans la qualité des services rendent le système de retraite peu attrayant et inefficace pour nombre de bénéficiaires. L’existence de multiples organes de gestion est également pointée du doigt, rendant difficile la mise en place d’une politique sociale cohérente et centralisée.
Avec cette réforme, le gouvernement entend poser les bases d’une politique sociale unifiée, solidaire et plus inclusive, à la hauteur des aspirations des travailleurs sénégalais.
aps
Présidence Fédération sénégalaise de football : Mady Touré annonce officiellement sa candidature

Best Fm Tv en Live : Emission Jottayu Mouride Sadikh du 11 juillet 2025 par imam Abdoulaye thiam
