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DECLARATION DU SECRETARIAT EXECUTIF NATIONAL: M. Sonko a étalé une nouvelle fois son manque de culture d’État et de retenues à travers un live sur les réseaux sociaux


Rédigé le Mercredi 2 Juillet 2025 à 20:34 | Lu 18 fois | 0 commentaire(s)




Le Secrétariat Exécutif National de l'Alliance Pour la République prend acte du verdict prononcé par la Cour suprême, qui condamne définitivement Monsieur Ousmane Sonko pour le délit de diffamation à l’encontre de notre camarade Monsieur Mame Mbaye Niang, ancien ministre.  
Fidèle à ses habitudes puériles, M. Sonko a étalé une nouvelle fois son manque de culture d’État et de retenues à travers un live sur les réseaux sociaux, dans lequel il a ridiculisé le Président de la République, outragé les magistrats et menacé les citoyens qui auraient commis le tort d’avoir un avis contraire au sien.
S’honorant en tant que parti républicain de ne jamais commenter les décisions de justice ni au pouvoir ni dans l'opposition, l’APR dénonce la clochardisation des institutions par le parti Pastef, et la manière avec laquelle le Premier ministre s'emploie à abaisser les magistrats, en violation de la tradition sacrée de séparation des pouvoirs et de nos us et coutumes républicaines.  
De surcroît, Le Premier ministre tente de masquer son incompétence chronique et son incapacité clinique par l’injure, la calomnie et l’outrance verbale.
Face aux difficultés qui assaillent les populations dans leur quotidien, aux finances publiques exsangues, à l’isolement diplomatique du Sénégal, au chômage endémique et à la perte du pouvoir d’achat des ménages, Ousmane Sonko se complaît dans une posture irresponsable faite de médisance et de contre-vérités à propos de la gestion antérieure. 
Tout se passe comme si le fumeux "projet" se réduisait aux attaques contre le Président Macky Sall et son régime; M. Sonko oubliant que l'attente des Sénégalais n'est pas la rumination du passé de ses turpitudes mais la satisfaction du minimum vital pour les Sénégalais.  
Tous les Sénégalais savent que l’APR a laissé un pays stable dont les signaux économiques étaient au vert et dont la réputation à l’extérieur était solide. 
Parce que son impuissance à impulser une action gouvernementale efficace et performante est devenue manifeste aux yeux du Peuple sénégalais, M. Sonko invente un nouveau concept en politique : l’opposition au pouvoir. Il a remplacé l’action par le bavardage inutile et le résultat par la complainte.
Parce que l’agitation fébrile ne saurait masquer une incompétence notoire et un populisme primaire, il est attendu du gouvernement des réponses précises et urgentes aux préoccupations des populations dont l’espoir s’est mué en déception et en désolation.
Les Sénégalais attendent d'un premier ministre digne de ce nom des solutions et non des éructations le long des discours d'impuissance.
Enfin, l’Alliance Pour la République condamne les délires du premier Ministre Ousmane Sonko sur son obsession à détruire le peu d’image qui reste du Sénégal sur la scène internationale avec des déclarations aussi fausses qu’irresponsables sur le taux d’endettement du pays.
 
 
Dakar, le 2 juillet 2025
Le Secrétariat Exécutif National
 
 



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Thiès : le maire Babacar Diop interpelle les entreprises minières sur l’impact environnemental et social

Lors des journées portes ouvertes sur le secteur minier, le maire de Thiès, Babacar Diop, a appelé les sociétés minières à respecter l’environnement, les infrastructures et la vie des populations.

 

À l’occasion de la cérémonie d’ouverture des journées portes ouvertes sur le secteur minier, le maire de la ville de Thiès, Dr Babacar Diop, a lancé un appel solennel aux entreprises minières de la région pour une meilleure prise en compte des enjeux environnementaux et sociaux.

« Les entreprises doivent respecter notre environnement. Elles ne doivent pas détruire nos routes, ni fragiliser le rail, ni mettre en danger des vies alors qu’elles brassent des milliards », a déclaré le maire, regrettant les impacts visibles de l’activité minière sur la ville et ses habitants.

Dans son intervention, Dr Babacar Diop a insisté sur la nécessité d’une justice sociale et d’une prise en considération des populations locales. « C’est un appel du cœur pour penser à ces pauvres gens, Monsieur le Ministre », a-t-il lancé.

Le maire a conclu son discours en rappelant que certaines richesses naturelles sont inestimables et ne sauraient être monnayées : « Il y a des choses que l’argent ne peut pas acheter. Vous ne pouvez pas acheter le vent, le soleil ou la pluie… »




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Fraude et corruption : la CENTIF confie 46 affaires majeures au Procureur

La Cellule nationale de Traitement des Informations financières (CENTIF) frappe fort en 2024. Son rapport annuel, rendu public cette semaine, met en évidence une véritable montée en puissance du dispositif national de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme (LBC/FT). La sortie du Sénégal de la liste grise du Groupe d’Action financière (GAFI) le 25 octobre 2024 marque une étape décisive dans ce combat.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes. La CENTIF a enregistré 928 déclarations d’opérations suspectes (DOS) en 2024, soit une hausse de 15 % par rapport à 2023. Les banques et établissements financiers demeurent les principaux acteurs de la vigilance, représentant 83 % des signalements. Les déclarations de transactions en espèces (DTE), obligatoires pour les opérations supérieures à 15 millions de FCFA, ont explosé de 151 %, passant de 17 millions à 42,7 millions FCFA.
Le rapport révèle que fraude, corruption et infractions fiscales restent les principales cibles du dispositif. La fraude domine les signalements (60 % des cas), suivie de la corruption et des infractions fiscales. En revanche, les cas de faux et usage de faux ou de contrebande ont reculé.
Mais la CENTIF pointe aussi de nouvelles méthodes de blanchiment : « Nous observons désormais des escroqueries sur les deniers publics via des sociétés écrans et prête-noms, l’exploitation des plateformes de jeux en ligne, la manipulation de contrats d’assurance-vie, des transferts occultes dans le secteur extractif et un recours croissant aux cryptomonnaies », alerte le rapport.
En matière judiciaire, la CENTIF a transmis 46 dossiers au Procureur du Pool judiciaire financier, contre un nombre inférieur l’an passé. Les classements sans suite ont reculé de 36 %, traduisant « une meilleure qualité des analyses », note le président Cheikh Mouhamadou Bamba Siby dans l’avant-propos du document.
Depuis son inscription sur la liste des juridictions sous surveillance en janvier 2021, le Sénégal s’était engagé à mettre en œuvre 49 mesures correctives. Selon Cheikh Mouhamadou Bamba Siby, « l’atteinte de ces résultats est le fruit d’une synergie entre les acteurs nationaux et les partenaires internationaux ». Une performance qui pourrait bien consolider la réputation du pays sur la scène financière mondiale.


Hajj 2026 : ouverture des préinscriptions dès le 1er octobre au Sénégal

La Délégation générale au Pèlerinage aux Lieux saints de l’Islam (Dgp) a annoncé le lancement des préinscriptions pour le Hajj 2026. À partir du mercredi 1er octobre, les candidats pourront s’inscrire dans toutes les agences de la Banque Islamique du Sénégal (BIS).

Pour cette édition, le coût du pèlerinage a été fixé à 4 300 000 francs CFA. Les pèlerins auront le choix entre deux modalités de paiement : un règlement en une seule fois ou un paiement échelonné. Dans ce dernier cas, un premier versement de 2 300 000 francs CFA sera exigé, suivi d’un second versement de 2 000 000 francs CFA.

La Dgp précise que ces préinscriptions interviennent avant la publication du package officiel 2026, lequel détaillera les prestations incluses dans l’organisation du pèlerinage.



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