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DECLARATION ABDOU MBOW : Nous sommes en train de vivre une véritable dictature et les Sénégalais ne l’accepteront pas.


Rédigé le Vendredi 13 Décembre 2024 à 20:56 | Lu 89 fois | 0 commentaire(s)



DECLARATION ABDOU MBOW : Nous sommes en train de vivre une véritable dictature et les Sénégalais ne l’accepteront pas.


Notre Sénégal et les Sénégalais souffrent. D’abord de la cherté de leurs vies et des conditions d’existences difficiles que les nouveaux dirigeants avaient promis d’alléger sinon de résoudre.
Or, il est évident que cela est le cadet de leurs soucis. La seule chose qui leur importe est de mettre sur pieds non plus leur projet, mais leur agenda, celui d’établir dans ce pays UNE DICTATURE.
C’est à ces fins que depuis leur arrivée au pouvoir, ils ont décidé de mettre tous les Sénégalais qui ne « réfléchissent pas Projet », hors d’état d’émettre quelque idée que ce soit.
Ils ont mis en prison des gens qui avaient juste émis des doutes sur l’exposé soi-disant économique du 26 septembre du PM Ousmane Sonko, ils ont décidé quelle presse devait avoir droit de cité au Sénégal, écartant les supports qu’ils ont jugés défavorables au projet, et aujourd’hui, ils s’en prennent à Madiambal Diagne, qui a eu le tort d’écrire un livre sur les étranges relations d’Ousmane Sonko avec Adji Sarr, et à Barthélémy Dias qui est le maire de la Ville de Dakar, station qui après la conquête de l’Assemblée Nationale, manque à leur pouvoir d’établir leurs visées dictatoriales.
Venir défoncer les portes de la Mairie de Dakar pour en extraire celui qui en est encore l’édile, est une forfaiture qui n’a pu être commandée que par Ousmane Sonko, qui apparemment est LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE présent au Sénégal, puisque l’autre est toujours en voyage aux quatre coins du Monde.
Nous sommes en train de vivre une véritable dictature et les Sénégalais ne l’accepteront pas. Les dirigeants actuels, en tant que garants des institutions et de la stabilité démocratique, ont la responsabilité d’éviter toute dérive perçue comme de l’instrumentalisation de la justice à des fins politiques.
Fait à Dakar le, 13 décembre 2024
Abdou MBOW
Député Takku Wallu Sénégal
 
 



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Thiès : le maire Babacar Diop interpelle les entreprises minières sur l’impact environnemental et social

Lors des journées portes ouvertes sur le secteur minier, le maire de Thiès, Babacar Diop, a appelé les sociétés minières à respecter l’environnement, les infrastructures et la vie des populations.

 

À l’occasion de la cérémonie d’ouverture des journées portes ouvertes sur le secteur minier, le maire de la ville de Thiès, Dr Babacar Diop, a lancé un appel solennel aux entreprises minières de la région pour une meilleure prise en compte des enjeux environnementaux et sociaux.

« Les entreprises doivent respecter notre environnement. Elles ne doivent pas détruire nos routes, ni fragiliser le rail, ni mettre en danger des vies alors qu’elles brassent des milliards », a déclaré le maire, regrettant les impacts visibles de l’activité minière sur la ville et ses habitants.

Dans son intervention, Dr Babacar Diop a insisté sur la nécessité d’une justice sociale et d’une prise en considération des populations locales. « C’est un appel du cœur pour penser à ces pauvres gens, Monsieur le Ministre », a-t-il lancé.

Le maire a conclu son discours en rappelant que certaines richesses naturelles sont inestimables et ne sauraient être monnayées : « Il y a des choses que l’argent ne peut pas acheter. Vous ne pouvez pas acheter le vent, le soleil ou la pluie… »




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Fraude et corruption : la CENTIF confie 46 affaires majeures au Procureur

La Cellule nationale de Traitement des Informations financières (CENTIF) frappe fort en 2024. Son rapport annuel, rendu public cette semaine, met en évidence une véritable montée en puissance du dispositif national de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme (LBC/FT). La sortie du Sénégal de la liste grise du Groupe d’Action financière (GAFI) le 25 octobre 2024 marque une étape décisive dans ce combat.
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Le rapport révèle que fraude, corruption et infractions fiscales restent les principales cibles du dispositif. La fraude domine les signalements (60 % des cas), suivie de la corruption et des infractions fiscales. En revanche, les cas de faux et usage de faux ou de contrebande ont reculé.
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Hajj 2026 : ouverture des préinscriptions dès le 1er octobre au Sénégal

La Délégation générale au Pèlerinage aux Lieux saints de l’Islam (Dgp) a annoncé le lancement des préinscriptions pour le Hajj 2026. À partir du mercredi 1er octobre, les candidats pourront s’inscrire dans toutes les agences de la Banque Islamique du Sénégal (BIS).

Pour cette édition, le coût du pèlerinage a été fixé à 4 300 000 francs CFA. Les pèlerins auront le choix entre deux modalités de paiement : un règlement en une seule fois ou un paiement échelonné. Dans ce dernier cas, un premier versement de 2 300 000 francs CFA sera exigé, suivi d’un second versement de 2 000 000 francs CFA.

La Dgp précise que ces préinscriptions interviennent avant la publication du package officiel 2026, lequel détaillera les prestations incluses dans l’organisation du pèlerinage.



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