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Considérés comme des responsables irresponsables : Mouhamadou Lamine Massaly, président de l'UNR, "brûle" encore le F24


Rédigé le Mercredi 29 Novembre 2023 à 21:06 | Lu 10 fois | 0 commentaire(s)



Le F24 ! C’est finalement une image laide et vile que ce conglomérat de losers et d’aigris, qui prétendent défendre la République, donne au Sénégal. La conspiration et la grossièreté y ont élu domicile et personne n’y charrie les valeurs de l’esprit républicain. Tout ce que ces responsables disent dans les médias et font sur le terrain politique, renvoie à l’irresponsabilité.

La calomnie et le dénigrement y ont cédé la place à la barbarie et à la cruauté. Les responsables ne partagent ni des valeurs ni des vertus. Ils sont devenus irresponsables et l’ex-Pastef qui semble les unir, est transformé en une jungle sauvage, où il faut insulter ou être injurié, en attendant peut-être de tuer ou d’être tué.

A la veille de la Présidentielle 2024, tout, dans ce conglomérat de leaders en perte vitesse, est abject et mince. Ce sont des responsables qui injurient par une hideuse acrobatie verbale. Plusieurs de ses responsables du F24, ne se révèlent pas par un fiel local remporté, ni par un acte républicain. Leurs noms ne surgissent que dans de violentes échauffourées lors de manifestations politiques.

Les responsables du F24 pêchent en stratégie et en méthode de lutte. Leur haine empeste leurs propos. La rancœur rythme leurs répliques. Leurs mots sont des termes de bagarres. Ils ne discutent pas. Ils disputent. Sans s’en rendre compte, les leaders du F24 se donnent une image publique peu glorieuse, par une personnification à outrance des antagonismes politiques.

Le F24 n’a même pas un berceau d’avenir, leurs responsables étant des automates, sans formation politique et sans retenue, qui mènent le jeu de démoniaques manipulateurs. Ces manipulateurs, fortunés du hasard, qui sont adoubés à de hautes responsabilités, n’ont pour splendeur que l’arrogance et la sauvage conspiration. Et les Sénégalais découvrent aujourd’hui, que ces gens du F24 sont incapables de hausser leur petitesse et leurs sinécures, ne sont que des vols et leurs forces politiques, du faux.

La paix dont vous faites allusion, ne rime pas avec le mensonge et vous n'avez plus d’arguments depuis que le Président Macky Sall a renoncé au 3e mandat. Vous avez des problèmes pour se faire parrainer, mais ni la manipulation ni la calomnie ne prospéreront. Soyez juste de vous-même, cette campagne de diabolisation ne passera pas et nous ferons face.






Mouhamadou Lamine Massaly,
Président de l'UNR



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Thiès : le maire Babacar Diop interpelle les entreprises minières sur l’impact environnemental et social

Lors des journées portes ouvertes sur le secteur minier, le maire de Thiès, Babacar Diop, a appelé les sociétés minières à respecter l’environnement, les infrastructures et la vie des populations.

 

À l’occasion de la cérémonie d’ouverture des journées portes ouvertes sur le secteur minier, le maire de la ville de Thiès, Dr Babacar Diop, a lancé un appel solennel aux entreprises minières de la région pour une meilleure prise en compte des enjeux environnementaux et sociaux.

« Les entreprises doivent respecter notre environnement. Elles ne doivent pas détruire nos routes, ni fragiliser le rail, ni mettre en danger des vies alors qu’elles brassent des milliards », a déclaré le maire, regrettant les impacts visibles de l’activité minière sur la ville et ses habitants.

Dans son intervention, Dr Babacar Diop a insisté sur la nécessité d’une justice sociale et d’une prise en considération des populations locales. « C’est un appel du cœur pour penser à ces pauvres gens, Monsieur le Ministre », a-t-il lancé.

Le maire a conclu son discours en rappelant que certaines richesses naturelles sont inestimables et ne sauraient être monnayées : « Il y a des choses que l’argent ne peut pas acheter. Vous ne pouvez pas acheter le vent, le soleil ou la pluie… »



TAKUSSANOU SAFAR



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Fraude et corruption : la CENTIF confie 46 affaires majeures au Procureur

La Cellule nationale de Traitement des Informations financières (CENTIF) frappe fort en 2024. Son rapport annuel, rendu public cette semaine, met en évidence une véritable montée en puissance du dispositif national de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme (LBC/FT). La sortie du Sénégal de la liste grise du Groupe d’Action financière (GAFI) le 25 octobre 2024 marque une étape décisive dans ce combat.
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En matière judiciaire, la CENTIF a transmis 46 dossiers au Procureur du Pool judiciaire financier, contre un nombre inférieur l’an passé. Les classements sans suite ont reculé de 36 %, traduisant « une meilleure qualité des analyses », note le président Cheikh Mouhamadou Bamba Siby dans l’avant-propos du document.
Depuis son inscription sur la liste des juridictions sous surveillance en janvier 2021, le Sénégal s’était engagé à mettre en œuvre 49 mesures correctives. Selon Cheikh Mouhamadou Bamba Siby, « l’atteinte de ces résultats est le fruit d’une synergie entre les acteurs nationaux et les partenaires internationaux ». Une performance qui pourrait bien consolider la réputation du pays sur la scène financière mondiale.


Hajj 2026 : ouverture des préinscriptions dès le 1er octobre au Sénégal

La Délégation générale au Pèlerinage aux Lieux saints de l’Islam (Dgp) a annoncé le lancement des préinscriptions pour le Hajj 2026. À partir du mercredi 1er octobre, les candidats pourront s’inscrire dans toutes les agences de la Banque Islamique du Sénégal (BIS).

Pour cette édition, le coût du pèlerinage a été fixé à 4 300 000 francs CFA. Les pèlerins auront le choix entre deux modalités de paiement : un règlement en une seule fois ou un paiement échelonné. Dans ce dernier cas, un premier versement de 2 300 000 francs CFA sera exigé, suivi d’un second versement de 2 000 000 francs CFA.

La Dgp précise que ces préinscriptions interviennent avant la publication du package officiel 2026, lequel détaillera les prestations incluses dans l’organisation du pèlerinage.



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