En marge de son discours, le Premier ministre Ousmane Sonko est revenu sur la décision de la Cour suprême concernant le rabat d’arrêt introduit par ses avocats dans le cadre de l’affaire de diffamation qui l’oppose à Mame Mbaye Niang. Il a annoncé avoir instruit ses avocats de saisir le ministre de la Justice pour obtenir la réouverture du dossier, invoquant l’existence de nouveaux éléments.
« Le régime précédent a usé de tous les moyens pour m’écarter de la course présidentielle. Aujourd’hui, nous allons rendre public le rapport de l’Inspection générale des finances (IGF). J’ai demandé à mes avocats d’écrire dès demain (mercredi) au ministre de la Justice pour solliciter une nouvelle comparution devant le tribunal, à la lumière de faits nouveaux dans le dossier», a déclaré le leader de Pastef.
Il affirme que l’actuel ministre des Finances lui a transmis les rapports de l’IGF de 2018 et 2022, jusque-là tenus secrets, dont les ordres de mission, selon lui, ont été signés par l’ancien ministre Amadou Ba. « Ils ont tout orchestré. L’un des plus grands problèmes de notre pays reste la justice », a-t-il déploré.
D’après lui, les Sénégalais ont le droit de savoir : « Il n’y a jamais eu ni diffamation, ni accusation mensongère, ni falsification de documents. Ce dossier doit être rouvert et jugé sur la base de la vérité ».
« Le régime précédent a usé de tous les moyens pour m’écarter de la course présidentielle. Aujourd’hui, nous allons rendre public le rapport de l’Inspection générale des finances (IGF). J’ai demandé à mes avocats d’écrire dès demain (mercredi) au ministre de la Justice pour solliciter une nouvelle comparution devant le tribunal, à la lumière de faits nouveaux dans le dossier», a déclaré le leader de Pastef.
Il affirme que l’actuel ministre des Finances lui a transmis les rapports de l’IGF de 2018 et 2022, jusque-là tenus secrets, dont les ordres de mission, selon lui, ont été signés par l’ancien ministre Amadou Ba. « Ils ont tout orchestré. L’un des plus grands problèmes de notre pays reste la justice », a-t-il déploré.
D’après lui, les Sénégalais ont le droit de savoir : « Il n’y a jamais eu ni diffamation, ni accusation mensongère, ni falsification de documents. Ce dossier doit être rouvert et jugé sur la base de la vérité ».