Le dossier explosif du marché d’aménagement du Parc des Technologies Numériques (PTN) de Diamniadio connaît un nouveau tournant judiciaire. Poursuivis pour détournement de deniers publics, complicité et blanchiment de capitaux, les mis en cause ont été fixés sur leur sort par le juge d’instruction du troisième cabinet du pool judiciaire financier.
Selon des informations de Seneweb, l’entrepreneur Amy Samakhé et la directrice de l’administration générale (DAG), Hélène Ndouckité Helndou Diouf, ont recouvré la liberté sous contrôle judiciaire, après dépôt d’une caution réelle. En revanche, le directeur administratif et financier (DAF), Ismaïla Timbo, ainsi que le coordonnateur Bassirou Abdou Ba, ont été placés sous mandat de dépôt.
L’affaire, qui porte sur un marché public estimé à 1,476 milliard de FCFA destiné à l’aménagement du site du futur PTN de Diamniadio, met en lumière de graves manquements. Lors de son audition, Amy Samakhé a vigoureusement rejeté les accusations, affirmant avoir financé elle-même les travaux, après de longues hésitations liées aux dettes de l’État à son égard.
Elle affirme n’avoir accepté le contrat qu’à la suite d’insistances des autorités, lesquelles l’auraient rassurée en évoquant des ressources privées hors budget ministériel. Malgré cette défense, l’entrepreneur a dû se plier à un cautionnement réel pour recouvrer la liberté.
Selon des informations de Seneweb, l’entrepreneur Amy Samakhé et la directrice de l’administration générale (DAG), Hélène Ndouckité Helndou Diouf, ont recouvré la liberté sous contrôle judiciaire, après dépôt d’une caution réelle. En revanche, le directeur administratif et financier (DAF), Ismaïla Timbo, ainsi que le coordonnateur Bassirou Abdou Ba, ont été placés sous mandat de dépôt.
L’affaire, qui porte sur un marché public estimé à 1,476 milliard de FCFA destiné à l’aménagement du site du futur PTN de Diamniadio, met en lumière de graves manquements. Lors de son audition, Amy Samakhé a vigoureusement rejeté les accusations, affirmant avoir financé elle-même les travaux, après de longues hésitations liées aux dettes de l’État à son égard.
Elle affirme n’avoir accepté le contrat qu’à la suite d’insistances des autorités, lesquelles l’auraient rassurée en évoquant des ressources privées hors budget ministériel. Malgré cette défense, l’entrepreneur a dû se plier à un cautionnement réel pour recouvrer la liberté.